MAIRIE DE BOKOMBÉ: LES YA-LOONGO DU CANTON BAKOKO-ADIÈ LE SEUL REGROUPEMENT DES FAMILLES ÉLOG-MPOO DU CANTON.
MAIRIE DE BOKOMBÉ: LES YA-LOONGO DU CANTON BAKOKO-ADIÈ LE SEUL REGROUPEMENT DES FAMILLES ÉLOG-MPOO DU CANTON.
Introduction: Une image de quelques jeunes de l’assemblée culturelle Élog-Mpoo (ou Ye-Mfook) au cours d’une petite reunión des membres des jeunes des bureaux des antennes Élog-Mpoo (ou Ye-Mfook) du Cameroun tenue à Ya-Ngôô’Naanga (germanisé Yagonang) dans l’arrondissement de Dibombari, département dui Moungo, región administrative du Littoral ou Sawaa-du-Centre du Cameroun.
Une photo qui nous permet de jetter juste un tout petit regard sur les origines généalogies et historiques des familles autochtones de la chefferie consulaire et administrative du canton Bakoko-Adiè de la ville d’Édéa le chef-lieu du département de la Sanaga-Maritime du Cameroun.
COMPRENDRE LE CANTON BAKOKO-ADIÈ:
1- LES YA-LOONGO LE SEUL REGROUPEMENT DE FAMILLE ÉLOG-MPOO DU CANTON.
Le regroupement des familles Ya-Loongo du canton Bakoko-Adiè est le seul regroupement des familles Élog-Mpoo (Ye-Mfook) du canton. Les Ndog-Bassangbeng (ou Ésa-Ébeng), Élog-Ngwé (ou Ngoé), les Ndog-Benaane (Élog-Ékô'ô ou Ndog-Kohi (Ésa-Koé) et Élog-Mbongo ou Yalipenda (Mvôngô Ésa-Ékôtan)) et les Ya-Mbong ou Ye-Mbong ne sont pas des Élog-Mpoo sur le plan purement dynastie lignagère et historique. Ici c'est une simple fabrication historique tout simplement.Ceci dit ce sont les Ya-Loongo qui auraient introduit les autres communautés autochtones de l'actuel canton Bakoko-Adiè de la ville d'Édéa dans le cercle Élog-Mpoo, alors les Ya-Loongo malgré tout ce que l'on a voulu nous faire croire sont les maîtres et les véritables fondateurs du canton Bakoko-Adiè.
Le travail-ci est colossal et demande beaucoup de patience de temps et même d'énergie car il faut fouiller les archives de l'Éthiopie métropolitaine où pour avoir certains détails tu es obligé d'aller dans des villages d'origine où chacun de nos patriarches est sortie, mais le canton Bakoko-Adié c'est une composition des familles des grandes chefferies du Menz-Ngénda (anglicisé Menz Gera) et du Morat, dans le Sawaa Éthiopien. J'ai déjà toutes les différentes composantes, les Ndog-Benaane descendent par exemple de l'empereur Yishaaq d'Éthiopie de par son fils Ébenaan Endriyas qui ensuite est le père de deux fils dont l'ainé est Naanga Mih'Reer-Ékaa alias " Sa'Rwa Iyaasus " c'est-à-dire le patriarche Naanga Reer-Ékaal le grand-père maternelle de Sa'Ngwè Ékaa, de par sa fille Ngô'ô Ngè Naanga, alors ne t'en fais pas j'arrive.
2- LES YA-LOONGO OU BAH-LOONGO NE SONT PAS DES BAKOO MAIS DES ÉLOG-MPOO DU CANTON BAKOKO-ADIÈ AU SENS PROPRE DU TERME.
les Ya-Loongo ou Bah-Loongo (Bó'Loongo) ne sont pas des Bakoo mais des Élog-Mpoo du canton Bakoko-Adiè au sens strict du terme, ce sont les premières familles Éthiopiennes à conquérir le territoire actuel du canton Bakoko-Adié avec sa ville Édéa. Et ce sont ses Ya-Loongo qui non seulement donnent le patronyme Adiè à la ville d'Édéa mais aussi au canton Bakoko-Adiè. Les Ndog-Étomèn, les Ndog-Benaane et les Yambong ne sont ni des Bakoko-Adiè, ni des Élog-Mpoo. Relis attentivement mes commentaires. C'est très dur à l'avaler, mais c'est la réalité, alors il faut désormais faire avec.
Et même le sous dialecte Ati-zamaan dit " Bakoko-Adiè " dont parlent les familles autochtones du canton Bakoko-Adiè n'est ni Ndog-Étomèn ni Ndog-Benaane, ni Yambong, mais Ya-Loongo la pure famille Élog-Mpoo du canton Bakoko-Adiè.
2- LE CAS DU CANTON BAKOKO-ADIÈ N'EST PAS UN CAS ISOLÉ PRATIQUEMENT TOUTES LES CHEFFERIES DU CAMEROUN SONT AINSI.
Le constat que nous venons de faire pour le patronyme du canton Bakoko-Adiè est le même que nous avons dans l'arrondissement du campo avec les trois groupements de l'arrondissement du campo qui ont tous des patronymes qui ne cadrent pas avec les origines généalogiques et historiques des familles autochtones qui les composent, et nous avons comme impression que les Allemands et les Français l'on fait partout sur le territoire du Cameroun où au lieu de faire valoir les vrais toponymes des unités administratives qu'ils avaient trouvés les a plutòt détruit.
4- LE JEU TROUBLE DES ADMINISTRATEURS ALLEMANDS & FRANÇAIS, SEUL OBJECTIF EFFACER L'EMPIRE D'ÉTHIOPIE DE LA CARTE DU MONDE.
Toujours dans le cas du patronyme Bakoko-Adiè nous savons tous d'après la tradition que ce sont des familles des regroupements Ndog-Étomèn (Ye-Étôm ou Étomaanè-Ésaékôtan (Ngoé ou Élog-Ngwé inclut)) et Ndog-Benaane ou Ébomaane-Ésaékotan (Ésa-Koé y inclut) sont les chefs militaires qui ont conquis l'actuel territoire du canton Bakoko-Adiè et ils avaient vaincu les familles du regroupement Ya-Loongo (Bah-Loongo les premiers à conquérir le site) alors lorsque les troupes Allemandes arrivent à Édéa ils trouvent une résistance tenace des troupes royales du Sawaa de la deuxième vague et même de la première vague stationnée dans la Basse-Sanaga déjà les troupes militaires du Sawaa de l'unité administrative du Malimba du Sawaa Cemerounais vont d'abord se battre contre les troupes impériales allemandes ensuite seront le tour des régiments de défense des troupes royales du Sawaa stationnée à Édéa (Basse-Sanaga) d'être attaqué par des troupes impériales allemandes. Alors tout porte à croire que les descendants des prisonniers de guerre des troupes Ya-Loongo (le regroupement des familles Élog-Mpoo du canton Adiè au sens strict du terme) qui sont de la vague des troupes militaires de la coalition des royaumes Ngoojaam-Welega-Wôlô-Hadiyya en abrégé " Fang-Ngumba-Mvae " ou " Makaa-Mapfüer-Mabi ", auraient été utilisé par les troupes impériales allemandes pour avoir les forces royales du Sawaa dans la région de la Basse-Sanaga et pour les récompenser les Allemands ont rebaptisé le territoire par le patronyme que ces derniers avaient d'abord baptisé leur territoire avant les conquêtes des troupes royales du Sawaa, d'où Hadiya (Édéa) et Bakoko-Adiè. L'exemple d'Édéa est partout au Cameroun. Les Allemands et les Français avaient pour but de faire disparaître le royaume d'Éthiopie sur la carte du monde ce que le vrai Dieu n'a pas permis. Voilà la première leçon à retenir sur le patronyme Édéa et le toponyme Bakoko-Adiè.
Et Dieu seul sait combien des nôtres ont été completement aliéné par cette fabrication de la soi-disant " histoire du Cameroun " par les administrateurs Allemands et Franco-Britanniques. Au point de croire ses légendes des laboratoires Alleman
des et Française comme une vérité. Ainsi dans le canton Bakoko-Adiè le Ndog-Tomèn (Étomaane ou Ye-Étôm ainsi que les ndog-benaane ou Ébomaane) sont tous devenu des Élog-Mpoo et se disent Adiè (Hadiya) au détriment de leurs vraies origines Ambo ou Ada-Qôta et Ésa-Ékotan une autre branche Ambo ou Ngoh ni Nsongo c'est-'a-dire des Mbo'Ngaa de leur vrai patronyme Abbaa-Ngaazaajik (anglicisé Habar Garxajis) des Maqôta ou Maqôrrah les maîtres du Sawaa Éthiopien, ce Sawaa dont ils ont étendu jusqu'à leur nouveau territoire du Cameroun, et sa sous-région, la Nouvelle-Éthiopie.
Nous-y reviendrons.
NB: Fait à Düm-Ésamendjang Bouandjo, Campo Cameroun, par l'économiste et chercheur anthropologue Motto Carl Robert alias " Tata Motto'a Motto, “ roobleh " ou " loobè " ou " mveng " 10 makaa'awüt 2012 de notre calendrier traditionnel et officiel du Ye-Ityoyôppya (ce qui correspond au vendredi 19 mars 2020 du calendrier Ye-Romaani).
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