COMMUNE DE CAMPO, CAMEROUN.

MAIRIE DE BOKOMBÉ: CAMPO ENTRE DANS UNE NOUVELLE ÈRE !!

Une image de quelques élites de l'arrondissement du Campo lors d'un match de football au complexe sportif Ngaata de la ville de Bokombé.

Bokombé c'est le chef-lieu de la sous-préfecture du Campo, de la commune du Campo, de la chefferie supérieure de premier degré du canton Campo (Campo-Centre), et de la chefferie supérieure de 2ème degré du groupement Iyaasa de l'arrondissement du Campo.

Bokombé est pour ainsi dire le coeur de l'arrondissement du Campo.

Cette belle image illustre parfaitement la volonté et le grand élan qui anime désormais les fils et les filles de l'arrondissement du Campo à booster au plus haut niveau le développement tous azimuts de leur unité administrative, l'une des plus vieilles unités administratives de l'État Camerounais.

Campo qui pourtant avant le protectorat de la Première Guerre mondiale de 1914-1916 avait un niveau de développement que des grands centres du pays comme Douala, Limbé, Buea, et Yaoundé, mais les effets de la Première Guerre mondiale, puis la seconde ont sombré complement Campo, au point d'être relégué au rang d'une ville secondaire au détriment de Kribi, car l'administration Française du mandat Onusien du 1917 au 1er janvier 1960 sapé toutes les villes donc leurs prédécesseurs (les Allemands) avaient rendus prospère, afin de faire disparaître les traces Allemandes au Cameroun, Campo ayant été au premier rang pendant la période du protectorat Allemand sur le Cameroun; fut relégué au second rang et avait failli même disparaître nul n'était l'intervention énergique de son chef supérieur de 1er degré de l'époque à savoir le regretté Néguusè Mangaa mä Éneme Luis alias " Mpôlô'a Mangaa " (r.1892-1932) qui plaida auprès du haut-commissaire Théodore Paul Marchand (29 avril 1923 - Juin 1932) afin que la subdivision du Campo soit maintenu, quoique le 28 mai 1928 une partie de la subdivision du Campo fut rattaché à la subdivision d'Ambam par les administrateurs Français, et ceci sans le consentiment ni de la population du Campo actuel, ni de celle du Campo-Est ou Nya-Bizan et qui depuis 1979 est devenu arrondissement de Ma'an.

Le regretté chef supérieur de 1er degré Sa Majesté Néguusè Mangaa mä Éneme Ada Zenge Ovono avec le soutient de ses pairs du " Ngôndô'a Saawaa " de l'époque obtint gain de cause auprès du haut-commissaire Théodore Paul Marchand, et la subdivision du Campo fut maintenue. Et ce petit exemple nous montre juste combien de fois les élites de l'arrondissement du Campo se sont toujours battu pour le rayonnement de leur belle commune et sous-préfecture, car un fils du Campo (c'est-à-dire un campanais) où qu'il soit garde cette grande fierté d'être fils du Campo, le Campanais ne renie jamais ses origines, et c'est grâce à cette fierté qui fait qu'au jour d'aujourd'hui les choses bougent dans tous les villages de l'arrondissement du Campo.

L'histoire et les origines des différents peuples autochtones de l'arrondissement du Campo, depuis un bon bout de temps ont été faites que sur les réseaux sociaux comme Facebook que nous remercions d'ailleurs, mais à partir de maintenant Facebook sera là uniquement pour amplifiers certaines petites annonces ou informations relatives à la vie des fils et filles du Campo, et à l'ensemble de la commune, car les vraies choses ont commencé. Le site web est déjà ouvert quoique nous l'amenageons encore mais il est déjà opérationnel, les premiers livres sur l'histoire des peuples autochtones du Campo seront sur le marché cette année 2019, aucun peuple du Campo ne sera oublié, nous disons bien aucun.

Toutefois il faut relever que les peuples qui portent des patronymes qui n'ont rien à y voir avec leur origine et la généalogie de leurs pères fondateurs et unificateurs, ne peuvent plus porter des patronymes étrangers, l'authenticité et le naturel est désormais de rigueur afin de restituer à chaque peuple sa véridique histoire et son lignage authentique, voilà ce que nous faisons, car dans le Campo aucun peuple n'est né dans une plantation ceci dit chaque peuple à son authenticité et nous devons tous respectés chacun dans son essence naturelle.

Le site web et les livres petit à petit remplacent désormais Facebook, et ceci aussi permet de faire du travail constructif, un travail adapter à la science et à la technique de notre époque.

Le monde change et Campo aussi change, la marche arrière n'est plus possible.

CAMPO.....NOTRE CAMPO NATAL !